Après des incendies rues Truffaut, rue Lemercier et rue Rome, la rue Dautancourt dans le 17e arrondissement refait parler d'elle.
Dans la nuit du 6 au 7 septembre 2012, les habitants de la rue Dautancourt ont eu une nouvelle fois à faire face à un incendie de deux-roues. 11 scooters sont partis en fumée.
Réveillés brutalement dans la nuit par par les pompiers et une odeur âcre de pneus brûlés, ils n'en savent pas beaucoup sur l'identité et les motivations du nouveau méfait du pyromane du quartier situé entre La Fourche et Guy Moquet.
Des habitants parmi les plus anciens de cette petite rue tranquille, à sens unique, soupirent et ne disent mot. Les incendies existaient depuis longtemps. Ils n'ont jamais été résolu. Ils ne comptent plus le nombre de scooters et de voitures, depuis 15 ans, brûlés sans aucun vol et surtout sans explication.
C'est un quartier "délaissé" pour certains : avec peu de verdure, à deux pas des bouchons de l'avenue de Saint-Ouen, gênés la nuit par le bruit des motos, ils ont vu avec inquiétude l'aménagement pendant l'été 2011 d'une zone de stationnement par la Direction de la voirie et des déplacements de la Ville de Paris ; avec la création de 6 places supplémentaires pour voitures, 28 places pour vélos et 17 places de stationnements pour deux-roues.
Une donnée qui n'aura pas échappé au pyromane de La Fourche qui vient de refaire parler de lui.
Des habitants souhaitent plus que jamais que la rue devienne piétonne.
Articles :
- 7 septembre 2012 : Nouvel incendie de scooters dans le 17e arrondissement : Brigitte Kuster s'enflamme.
- 18 avril 2012 : Rue des Moines : la loi n'est plus appliquée.
Réveillés brutalement dans la nuit par par les pompiers et une odeur âcre de pneus brûlés, ils n'en savent pas beaucoup sur l'identité et les motivations du nouveau méfait du pyromane du quartier situé entre La Fourche et Guy Moquet.
Des habitants parmi les plus anciens de cette petite rue tranquille, à sens unique, soupirent et ne disent mot. Les incendies existaient depuis longtemps. Ils n'ont jamais été résolu. Ils ne comptent plus le nombre de scooters et de voitures, depuis 15 ans, brûlés sans aucun vol et surtout sans explication.
C'est un quartier "délaissé" pour certains : avec peu de verdure, à deux pas des bouchons de l'avenue de Saint-Ouen, gênés la nuit par le bruit des motos, ils ont vu avec inquiétude l'aménagement pendant l'été 2011 d'une zone de stationnement par la Direction de la voirie et des déplacements de la Ville de Paris ; avec la création de 6 places supplémentaires pour voitures, 28 places pour vélos et 17 places de stationnements pour deux-roues.
Une donnée qui n'aura pas échappé au pyromane de La Fourche qui vient de refaire parler de lui.
Des habitants souhaitent plus que jamais que la rue devienne piétonne.
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