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La presse en ligne a les mêmes devoirs et droits que la presse papier

Paris Tribune est un journal d'actualités sur Internet.


Nos lecteurs font confiance à la presse en ligne ; ceux qui savent qu'elle n'évolue pas dans une zone de non-droit.


10 Juillet 2010 - 14:14
     

Le Président de la République Nicolas Sarkozy l'a décidé : les media en ligne ne doivent pas être assimilés à la zone de non droit que serait, selon les détracteurs de la presse en ligne, la presse sur Internet. Il l'a voulu, il l'a obtenu : en 2009, les Etats généraux de la presse écrite ont rappelé que la presse internet est avant tout de la presse. Sans douleur, les Etats généraux ont accouché d'un statut de la presse sur Internet aligné sur celui de la presse papier. Mis en oeuvre le 1er juin 2009 par le gouvernement, les devoirs et les droits de la presse Internet sont désormais connus de tous.
C'est ainsi que suite aux attaques dont les medias sur internet ont été l'objet ces derniers jours, Maurice Botbol, le Président du Syndicat de la presse indépendante d'information en ligne (SPIIL) a souhaité rappeler le 8 juillet que "la presse en ligne est, d'abord et avant tout, de la presse. Elle s'appuie strictement sur les mêmes droits et devoirs que la presse papier."
Le SPIIL, créé en octobre 2009, répond aux besoins des éditeurs de presse en ligne désireux de se regrouper pour "promouvoir une presse indépendante et de qualité sur Internet ; défendre un cadre juridique et réglementaire qui permette un réel développement économique de la presse en ligne, et assure sa pérennité ; participer activement au renforcement d'un métier en pleine évolution, en définissant des principes de fonctionnement communs, ainsi qu'en partageant des expériences et des pratiques très diverses." Avec la mise en place de plusieurs groupes de travail comme ceux sur les modèles économiques, la technologie, les mesures d'audience, le mécénat, et la communication.
Le 15 janvier, le président du Spiil écrit une lettre au Ministre de la Culture pour demander que les aides à la presse en ligne soient rendues publiques.
Le 8 février, Frédérice Miterrand apporte son soutien de principe tout en considérant que cette "démarche légitime, fondée sur des intentions louables" peut soulever des difficultés liées au "secret des affaires" et à de "possibles effets contre-productifs pour les publications elles-mêmes".
Le 11 mars, une réunion est prévue entre représentants des éditeurs pour "définir les informations qui pourraient être publiées et les modalités de publication, en répondant à la double exigence de transparence des aides et de protection du secret des affaires" avec la participation de Francis Morel, président du Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN), et Pierre Jeantet, président du Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR), qui ont accepté cette proposition.
Mais rien n'a encore filtré. L'enjeu : la confiance des lecteurs à tranquiliser par la transparence sur les intérêts économiques et politiques de leur titre de presse. Et avant tout à rassurer par la véracité des informations publiées, forcément toujours difficiles à accepter.
(c) Orlando Florin Rosu - fotolia
(c) Orlando Florin Rosu - fotolia

Commentaire de Paris Tribune dans la discussion entamée sur le site du SPIIL sur la presse en ligne

(Lire ici les autres commentaires.)

"Rédactrice en chef et directrice de publication d'un journal d'informations locales à Paris, Paris Tribune.fr, je remercie le SPIIL de rappeler que la presse en ligne est avant tout de la presse.
Le rappel est important : certains hommes politiques, heureusement pas tous, soupçonnent la presse en ligne locale "d'insinuer des choses fausses". Tout simplement parce qu'ils n'ont pas l'habitude que des journalistes écrivent sur l'actualité de leur territoire ; ils souhaiteraient tout naturellement disposer d'un droit de regard.
Même combat pour la presse nationale en ligne : elle est soupçonnée de ne pas être professionnelle, au prétexte que l'on trouve tout et n'importe quoi sur Internet.
Est-ce qu'on soupçonne un quotidien national ou un journal d'arrondissement mensuel de raconter n'importe quoi au prétexte que des publicités vantant les mérites de je ne sais quel médium sortent des imprimeries françaises ?"




Vaea Devatine
Journaliste tahitienne. Formations universitaires modestes, en droit, en sciences sociales... En savoir plus sur cet auteur


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